Censure d'un autre temps
Copie de l'e-mail expédié ce jour au rédacteur en chef de Lyon Capitale
Monsieur le Rédacteur en Chef
Votre collaborateur Monsieur Florent Deligia a samedi 19 octobre 2013 vers 22 h 10 supprimé sans préavis un message que j'avais posté sur votre site "olympique et lyonnais.com" et a procédé à la déconnexion immédiate de mon compte. Il a donc exercé cette liberté des journalistes que vous évoquez en parlant de votre métier mais si mes sources sont bonnes vous pensez aussi que "le pendant de cette liberté c'est la responsabilité" avec comme souci de "quel que soit le média dans lequel il travaille, de ne jamais oublier que c'est à ses lecteurs que le journaliste rend compte"
Je vous mets au défi de me prouver que votre collaborateur a eu un comportement responsable en censurant ce message, expression très modérée d'un sentiment général sur la gestion du site depuis sa reprise par votre journal. En plus en tant que lecteur le minimum aurait été de m'informer de sa décision, rien, le mépris total, circulez rien à voir, c'est petit, très petit.
J'aime beaucoup cette citation de Beaumarchais reprise par vos confrères du Figaro "Sans la liberté de blâmer, point d'éloge flatteur" il est fort dommage de ne pas l'avoir reprise à votre compte.
L'objet du délit in extenso :
"Huck n'a pas de jumelle parce qu'elle est unique. La différence c'est que dans certains espaces la tolérance est moindre, les gens qui n'aiment pas l'impertinence, l'humour, le second degré sont plus nombreux que l'on ne pense..."
Nota : Huck est une intervenante censurée elle aussi récemment...
Je vous laisse méditer... sans formule de politesse... à l'image de Flo le modo votre collaborateur
Pseudo jmlol et derrière un retraité largement sexagénaire...
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